L'actualité de l'Administration Communale d'Aubange

17 radars préventifs qui font appel au sens du civisme des automobilistes

Depuis quelques mois déjà, des radars préventifs indiquent aux automobilistes la vitesse à laquelle ils traversent le territoire aubangeois. Ce sont 17 dispositifs qui ont été acquis et placés dans les diverses localités, sur des axes principaux. On en trouve 4 à Athus, 6 à Aubange, 4 à Halanzy et 3 à Battincourt. Leur emplacement a été décidé sur base des zones accidentogènes, des contrôles de « vitesse » répressifs  et des demandes verbales ou écrites des citoyens.

Alimentés par le bais de l’énergie solaire mais disposant de batteries en cas d’apport insuffisant, ils s’ajoutent au radar répressif mobile commun aux 4 Communes de la Zone de Police Sud-Luxembourg (Aubange, Messancy, Musson et Saint-Léger).

Préventif, répressif : quelle solution ?

Tel que l’indique Monsieur DENEFFE, chef de corps à la Zone de Police, « les radars préventifs détectent la vitesse et envoient un message de prévention, comme leur nom l’indique, aux conducteurs. Le but est éducatif, il s’agit de conscientiser les gens avec un smiley, l’indication de la vitesse et parfois un message de remerciement en cas de bonne conduite. C’est une aide qui leur rappelle qu’ils ne respectent pas la limitation de vitesse. On ne regarde pas toujours le compteur et avec les nouveaux véhicules à présent il est aisé de franchir la limite sans s’en rendre compte… ».

A l’inverse, le radar répressif constate l’infraction commise, un excès de vitesse, prend une photo du véhicule et permet aux unités compétentes de rédiger un procès-verbal. Un travail visant une répression des comportements mais qui implique également un travail plus conséquent et un suivi au niveau de la justice : analyse des clichés, identification du conducteur et de la plaque d’immatriculation, suivi administratif notamment pour signifier au contrevenant l’infraction, etc.

A Aubange, on a opté pour la solution moins radicale qui fait appel au sens du civisme des automobilistes, comme le précise Monsieur DENEFFE. « Je suis partisan du radar préventif, je suis partisan de la prévention avant la répression. Il faut aider les gens, les encourager à respecter les limitations, via un moyen externe. Si cela ne s’avère pas concluant, le placement d’un radar répressif peut être envisagé », ajoute le chef de corps.

La Commune va tout de même répondre à un appel de projet lancé par le Service Public de Wallonie visant à subsidier un radar répressif sur son entité.

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1 Comment

  1. Maurice

    Bonjour vous avez mit un radar en descendant chez ampacet ou il faut rouler maintenant 50 kmh alors moi j habitte un peu plus bas que le garage Warling pourquoi il y en a pas un dans la descende la 50 kmh comme l autre axe car à partir de 4h30 du matin i il n’y a pas veaucoup de gens qui respecte la limitation?

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